Michel RIGEL
(1950- )



Biographie

(Wikipedia)

Michel Rigel est issu d'une famille de vignerons bordelais à Saint-Estèphe. Sa mère Jeannine Cousteau était professeur d'enseignement général et depuis peintre animalier, spécialisée dans les tableaux de chasse. C'est dans la région du Sud-Ouest à Pau en 1962 qu'il a commencé à peindre.

Après des études dans les Pyrénées-Atlantiques, il travaille dans un cabinet d'architecture puis monte à Paris en 1969, il a 19 ans. Il fréquente les cours de dessins académiques, s'installe rue Élysées des Beaux-Arts et travaille avec les vieux peintres de la butte Montmartre au pied du Sacré-Cœur, présente ses toiles sur la place du tertre ; il peint le Sacré-Cœur, la maison de Mimi Pinson et le Moulin de la Galette.

Il se perfectionne en travaillant la gravure et la lithographie chez Bellini, imprimerie artistique, où subsistent encore dans l'atelier les dernières machines à lithographier de Toulouse-Lautrec. C'est dans ce lieu mythique qu'il rencontre Vieira da Silva et Zao Wou-Ki. Dès 1974 il est influencé par le surréalisme il peindra quelques tableaux visionnaires : Crucifixion sur cinq planètes parallèles, la sixième sphéroïde n'est pas de Léonard de Vinci, Perspectives démentielles des civilisations futures, La fin d'un microcosme, L'homme cybernétique, Pétropolis, Futura. En 1990 il fonde avec quelques amis peintres, l'association « Peintre-Avenir », dissoute à la suite du suicide de l'un de ses membres fondateurs.

1967-1974 : période figurative : (Pau- Montmartre)
1975-1985 : influence du surréalisme et sculpture en taille directe : (Grasse-Paris)
1985-2005 : influence du postimpressionnisme : (Venise- Paris)
2000-2008 : sculpture en terre-cuite et en bronze : (Paris)







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